#Nucléaire — En action à #CruasMeysse : nos activistes sont entrés dans la centrale en moins de 10 minutes. La démonstration est faite : ces piscines d'entreposage du combustible nucléaire usé, très mal protégées, sont très accessibles. #RisqueNucléaire pic.twitter.com/2pfbg3tEwN
— Greenpeace France (@greenpeacefr) November 28, 2017
[ACTION] Sécurité #nucléaire : ce matin, nos activistes sont de retour sur le site de la centrale de #CruasMeysse pour dénoncer l'immobilisme et l'attentisme de @EDFofficiel. pic.twitter.com/7fEjR51LD9
— Greenpeace France (@greenpeacefr) November 28, 2017
Un an après, sûreté et sécurité nucléaires dans le débat public
Les intrusions des activistes de Greenpeace dans des centrales nucléaires, comme à Cattenom le 12 octobre puis à Cruas-Meysse le 28 novembre 2017, ont suscité de nombreuses réactions. Quelques mois plus tard, une Commission d’enquête parlementaire sur la sûreté et la sécurité des installations nucléaires a été constituée. Ses conclusions, publiées dans un rapport le 5 juillet 2018, quelques jours après une autre action dans la centrale du Bugey, soulèvent de nombreuses questions, notamment celle du « très grand potentiel de danger » lié aux piscines d’entreposage de combustible usé dont les tests de résistance sont « impossibles à vérifier ». Les membres de la Commission ont également préconisé une évolution du mandat de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) afin d’inclure dans ses prérogatives la sécurité passive des installations nucléaires. La réponse d’EDF et du gouvernement n’est toujours pas à la hauteur des enjeux. Nous veillerons donc à ce que ces préconisations se transforment en décision.
Et nous continuons à dénoncer haut et fort le risque nucléaire.
(mis à jour le 28/11/2018)
coryn
Tout cela n'est pas sérieux, que ferait une ine intrusion dans le bâtiment piscine ? la vider tranquillement : opération longue, sortir les combustibles : opérations mortelles pour l'intervenant.
Laroche
Des alternatives au nucléaire existent... Il faut s'y lancer à fond.
Trévisan
Merci aux courageux, E.D.F. n'entend pas toujours... dommage.