Vendredi 1er mai, faute de pouvoir manifester dans les rues, la mobilisation se fera aux fenêtres, aux balcons et sur les réseaux sociaux ! Les organisations environnementales font front commun avec les syndicats pour dire “Plus jamais ça” et dénoncer les choix politiques d'E. Macron qui ne répondent toujours pas aux impératifs écologiques, sanitaires et sociaux. Face à une crise du coronavirus qui exacerbe les inégalités et met au grand jour les manœuvres des lobbies, la sortie de crise passe par un profond changement. Exigeons-le ensemble !

Climat

Un 1er mai pour le Jour d’Après !

Vendredi 1er mai, faute de pouvoir manifester dans les rues, la mobilisation se fera aux fenêtres, aux balcons et sur les réseaux sociaux ! Les organisations environnementales font front commun avec les syndicats pour dire “Plus jamais ça” et dénoncer les choix politiques d'E. Macron qui ne répondent toujours pas aux impératifs écologiques, sanitaires et sociaux. Face à une crise du coronavirus qui exacerbe les inégalités et met au grand jour les manœuvres des lobbies, la sortie de crise passe par un profond changement. Exigeons-le ensemble !

Ce que voulons-nous pour le “jour d’après”

La crise du coronavirus révèle les profondes carences des politiques néolibérales. Elle est une étincelle sur un baril de poudre qui était prêt à exploser. Face au drame que représente cette pandémie, nous devons nous donner l’opportunité historique d’une remise à plat du système, en France et dans le monde. Avec 15 organisations environnementales, associatives et syndicales, Greenpeace en appelle à toutes les forces progressistes et humanistes, et plus largement à toute la société, pour reconstruire ensemble un futur écologique, égalitaire, social et durable :

 

Soirée spéciale 1er mai

Jeudi 30 avril à 18h nous organisions une soirée spéciale 1er mai où Edwy Plenel, fondateur de Mediapart, a reçu les organisations Attac, la CGT, la Confédération Paysanne, la FSU, Greenpeace, les Amis de la Terre, Oxfam et l’Union syndicale Solidaires :

 

Comment manifester en ligne le 1er mai

Même confiné·es, manifestons toutes et tous le 1er mai, depuis chez nous, avec des pancartes, banderoles et en envahissant les réseaux sociaux. Rendons visibles, exprimons ce que nous voulons : un changement de cap, pour un futur écologique, social, féministe et démocratique !

1 – Créez votre affiche, pancarte ou banderole

Utilisez ce que vous avez sous la main (stylos, feutres, peinture, feuilles, cartons ou même banderole) : cela n’a pas d’importance.
Si vous le souhaitez, vous pouvez imprimer ce modèle.

2 – Ecrivez ce que vous voulez pour « Le Jour d’Après »

Ecrivez « Le Jour d’Après, je veux » puis ajoutez quelques mots sur le futur que vous désirez. N’hésitez pas à dessiner, colorier, décorer pour donner de la force à votre message !

3 – Prenez-vous en photo

Seul·e, en famille, chez vous, à votre balcon, ou dans le jardin si vous avez de la chance, faites un selfie ou faites-vous prendre en photo avec votre affiche terminée. Attention à ce que votre message soit bien lisible. Et évidemment, nulle obligation de montrer votre visage sur la photo si vous ne le souhaitez pas.

4 – Postez la photo sur les réseaux sociaux

Sur Facebook, Twitter, Instagram, postez votre photo avec les hashtags #PourLeJourDapres et #PlusQueJamaisLe1erMai.
Vous pouvez mentionner le compte de Greenpeace : nous repérerons ainsi plus facilement votre affiche pour la partager sur nos comptes de réseaux sociaux (@greenpeacefr sur Twitter et @greenpeace_france sur Instagram).

 

Ensemble composons un mur de photos

Postez vos photos sur les réseaux sociaux avec les hashtags #PourLeJourDapres et #PlusQueJamaisLe1erMai, elles apparaîtront ci-dessous :

 

Pourquoi célébrer le 1er mai

Le 1er mai est la journée internationale des travailleur·ses, et une date-clé pour leurs revendications sociales. Quel rapport avec l’écologie ? Les liens entre le monde du travail et l’environnement sont étroits :

  • En France, les crises sociale et écologique puisent leurs racines dans des décennies de politiques d’affaiblissement des acquis sociaux et des services publics, de soumission à des doctrines économiques productivistes inefficaces et destructrices, de toute-puissance du secteur financier, de dérégulation et de cadeaux fiscaux aux multinationales les plus polluantes.
  • Les mouvements sociaux et environnementaux portent des exigences communes et construisent des projets de société plus égalitaires, démocratiques et fondés sur la justice sociale et la préservation des ressources de notre planète.
  • Lier la question du climat et celle de l’emploi est fondamental pour réussir une transition écologique juste socialement. L’argent nécessaire ne manque pas. C’est la volonté politique qui fait cruellement défaut.