6 ans jour pour jour après la catastrophe, on ne peut oublier ce que subit le peuple japonais depuis Fukushima, trompé par les entreprises et le gouvernement sur le contrôle de la sûreté dans le nucléaire.

Une idée de l’après Fukushima
Et les récentes révélations sur les anomalies et falsifications omises sciemment ou pas par l’industrie nucléaire française étaient justement de nature à rappeler, au-delà des frontières, que le nucléaire est une énergie dangereuse.
Danger renforcé par les falsifications sur les générateurs de vapeur déjà en fonctionnement et qui contraignent EDF, de manière encore modeste, à respecter certaines mesures de précaution prescrites par l’ASN lors des arrêts et redémarrage de tranche.
Et le danger n’est pas uniquement environnemental et humain, il est aussi en très forte augmentation de nature financière et c’est la raison pour laquelle Greenpeace dans plus de 20 villes de France a alerté ce samedi 11 sur le déni pratiqué par EDF et sur les moyens insuffisants dont il dispose pour assurer la sûreté de ses réacteurs.
Un rassemblement sous le soleil
Quand on falsifie un dossier…
La vidéo c’est ici