Ce 30 octobre, avec les militant-e-s de toute la France, nous avions rendez-vous à Metz, où se tenait le procès en appel des activistes qui s’étaient introduits il y a deux ans dans la centrale nucléaire de Cattenom pour en dénoncer les failles de sécurité et l’irresponsabilité d’EDF et de l’État.
Greenpeace continue à plaider l’état de nécessité et le caractère déterminant de la désobéissance civile. La défense de l’intérêt général prime face à la gravité de la menace qui pèse sur nous. Et la place des lanceurs d’alerte n’est pas en prison!