Samedi 9 mars, c'était aussi le jour de l'initiative bordelaise pour rappeler l

Fukushima, Bordeaux non plus n’oublie pas

Samedi 9 mars, c’était aussi le jour de l’initiative bordelaise pour rappeler la catastrophe de Fukushima et la solidarité avec le peuple Japonais.
Greenpeace Bordeaux appelait donc avec d’autres associations comme Tchernoblaye ou Négajoule à un rassemblement devant le Grand Théâtre.
Les prises de paroles des associations ne pouvaient que reprendre les conséquences dramatiques de l’explosion de la centrale et également les risques que font courir en France les centrales qui fonctionnent depuis plus de 30 ans comme celle du Blayais.

L’intervention de Greenpeace

Le premier temps fut ensuite d’organiser avec les 250 personnes présentes un die-in silencieux afin de marquer sa solidarité avec les victimes et avec les Japonais qui souffrent encore tous les jours de l’impéritie et des mensonges de l’exploitant Tepco et du gouvernement.

le die-in au Grand Théatre

L’initiative se poursuivit par une manifestation, dont la banderole de tête affirmait haut et fort « Fukushima le drame continue », en direction des quais pour atteindre la maison éco-citoyenne au son rythmé des tambours et autres instruments de musique et de slogans comme « Fukushima, on n’oublie pas, solidaires sortir du nucléaire ».

la tête de la manif


La manif sur les quais La manif sur les quais
Le troisième temps fut consacré à la mise en place de la chaine humaine qui se déroula tout au long du Pont de pierre et éclairée par des fusées de détresse pour réaffirmer qu’à Bordeaux des citoyens sont encore et toujours là en solidarité avec le Japon et pour demander la sortie du nucléaire.

la chaine sur le pont


Le quatrième et dernier temps était la poursuite de la manifestation par l’avenue Thiers jusqu’à la maison cantonale de la Bastide où allait être donnée une représentation théâtrale d’une pièce visant à mettre en corrélation le passé de Tchernobyl et le présent de Fukushima.