Le minimum de solidarité justifiait amplement qu'en ce dimanche 11 mars, Greenp

Chaine humaine : De Bordeaux à Fukushima on n’oublie pas

Le minimum de solidarité justifiait amplement qu’en ce dimanche 11 mars, Greenpeace participe au niveau national comme au niveau local à la chaine humaine organisée pour rappeler le tribut payé par le peuple japonais à la course aveugle et insensée du nucléaire.
A Bordeaux prévue sur les quais de la Maison écocitoyenne aux Quinconces puis prolongée jusqu’à la Bourse maritime, la chaine humaine fut un réel succès.

Le beau temps aidant plus de 1000 personnes, familles complètes, sympathisants et militants ont formé cette chaîne colorée, motivée et grave qui voulait rendre hommage au peuple japonais et alertait une fois de plus les décideurs et politiques sur la nécessité d’abandonner cette fuite en avant du nucléaire.

Alors que des informations non démenties par le gouvernement et rapportées par les journaux japonais apportent les preuves que l’exploitant TEPCO n’a cessé de mentir et de présenter des données falsifiées, cette journée de solidarité tant à Bordeaux qu’en vallée du Rhône fut un réel moment de chaleur humaine dont les participants ont partagé toute la valeur symbolique.

30 militants et adhérents du groupe Greenpeace Bordeaux ont participé avec force drapeau, banderole et pancartes exprimant la solidarité avec le peuple japonais à ce rassemblement.

L’occasion également de retrouver des adhérents venus d’autres départements qui ont souhaité se joindre eux aussi à ce rassemblement malgré la distance.

Et une expression unanime Ni ici ni ailleurs, le nucléaire sûr n’existe pas !