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Et des discriminations similaires ont été dénoncées aux États-Unis après le passage de l’ouragan Katrina en 2005, des personnes transgenres s’étant vu refuser l’accès aux hébergements d’urgence.

Durant tout le mois de juin, dans de nombreuses villes en France et à l’étranger, les militants et militantes de Greenpeace participent aux marches des fiertés LGBTQIA+. L’occasion de rappeler les liens directs entre l’écologie, la justice sociale et les luttes contre un système injuste, violent et inégalitaire.

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Bénédicte Roget
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(lundi au vendredi de 9h à 18h)

Les luttes pour les droits LGBTQIA+, de même que celles contre le racisme, pour la justice sociale et l’égalité des genres, ont un lien direct avec le mouvement écologiste et climatique. Les communautés marginalisées, dont les personnes LGBTQIA+ (lesbienne, gay, bisexuel·le, trans, queer et intersexe et asexuel·le ou aromantique), sont plus exposées aux discriminations et aux violences, et d’autant plus vulnérables face aux pollutions et conséquences du dérèglement climatique. Mais le mouvement LGBTQIA+ est aussi une formidable source d’inspiration pour le mouvement écologique.

Que ce soit en matière de logement, de soins médicaux et de capacité à faire face aux catastrophes, les catastrophes climatiques affectent de manière plus importante au niveau mondial les personnes LGBTQIA+. Souvent contraintes de quitter leur domicile en raison de conflits familiaux, de menaces, d’abus et/ou de violences, de nombreuses personnes LGBTQIA+ sont aujourd’hui encore amenées à vivre dans des zones défavorisées, qui sont aussi les plus polluées.

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Roger

Comme l’ont démontré des travaux de recherches, ces personnes ont aussi un risque plus élevé de se retrouver sans domicile fixe, voire sans-abri, et sont donc beaucoup plus vulnérables face aux catastrophes climatiques, aux canicules, aux inondations, aux tempêtes ainsi qu’aux diverses pollutions. Aux États-Unis, alors que seulement 9,5 % des jeunes s’identifient comme LGBTQIA+, cette communauté représente 40 % des jeunes sans-abris. Et ces inégalités sont encore plus criantes pour les jeunes LGBTQIA+ racisés ou autochtones.

Les discriminations à l’encontre des personnes LGBTQIA+ sont encore courantes, y compris en France. Et elles sont exacerbées dans des situations d’extrême urgence, comme lors de catastrophes climatiques, où des personnes LGBTQIA+ se voient privées d’accès à l’aide dont elles auraient besoin ou totalement invisibilisées. C’est ce dont ont été victimes les Avranis en Inde, un groupe dont les membres ne s’identifient ni comme homme ni comme femme, après le tsunami qui a frappé l’océan Indien en 2004. Et des discriminations similaires ont été dénoncées aux États-Unis après le passage de l’ouragan Katrina en 2005, des personnes transgenres s’étant vu refuser l’accès aux hébergements d’urgence.